France Tardif

Durant plus de 50 ans, France Tardif a assumé des fonctions de coordination, d’éducation et de recherche dans le milieu communautaire québécois. Plus spécifiquement, dans les années 1970-1980 elle a travaillé dans des organismes jeunesse. Puis de 1988 à 1999 elle a travaillé sur les droits reproductifs des femmes en lien avec la contraception, la stérilisation et les technologies de la reproduction humaine à la Fédération du Québec pour le planning des naissances. Durant cette période, elle a participé comme représentante d’ONG à deux conférences de l’ONU : « Population et développement » (Rio de Janeiro, 1992) et « Environnement et développement » (Le Caire, 1994). En 2005 elle s’engage dans des recherches-action réunissant des universités, des communautés autochtones (Mashteuiatsh et Uashat mak Mani-Utenam) et leur musée. Elle a coordonné certains volets de ces projets, participé à des expositions et à des publications. Elle travaille présentement comme recherchiste et documentaliste au Projet d’intervention auprès des mineurs-es prostitués-es (PIaMP), à titre de bénévole, et au Bureau de consultation jeunesse (BCJ), deux organismes communautaires autonomes.